J’ai peur, papa, j’ai peur,
Dans ma chambre de Terreur
Où le loup vient s’inviter
A dîner de mon corps torturé !
J’ai peur, papa, j’ai peur !
Dans mon petit monde de l’horreur
Je ne peux que me recroqueviller
Attendant que je jour veuille s’éveiller !
Pourquoi faut il que je subisse
Encore et encore le fils qui se tisse
Et m’emprisonne de mots et de gestes
Qui me répulse bien plus que la peste ?
Pourquoi dois-je pleurer, lové contre toi,
En te racontant que le loup contre moi,
Voulait s’abreuver de mon âme solitaire
Et briser mon Etre pour me faire taire ?
J’ai peur, papa, j’ai peur !
Mon cœur n’est que frayeur !
Pourras tu me protéger toi si fort
Et jeter le mal loin de nous, dehors ?
J’ai peur, papa, j’ai peur !
Je ne suis qu’un puis de pleurs
Et je m’accroche à ton cou papa,
Je me cache dans tes bras, PAPA !
Faby,
Le 13 décembre 2007
Dans ma chambre de Terreur
Où le loup vient s’inviter
A dîner de mon corps torturé !
J’ai peur, papa, j’ai peur !
Dans mon petit monde de l’horreur
Je ne peux que me recroqueviller
Attendant que je jour veuille s’éveiller !
Pourquoi faut il que je subisse
Encore et encore le fils qui se tisse
Et m’emprisonne de mots et de gestes
Qui me répulse bien plus que la peste ?
Pourquoi dois-je pleurer, lové contre toi,
En te racontant que le loup contre moi,
Voulait s’abreuver de mon âme solitaire
Et briser mon Etre pour me faire taire ?
J’ai peur, papa, j’ai peur !
Mon cœur n’est que frayeur !
Pourras tu me protéger toi si fort
Et jeter le mal loin de nous, dehors ?
J’ai peur, papa, j’ai peur !
Je ne suis qu’un puis de pleurs
Et je m’accroche à ton cou papa,
Je me cache dans tes bras, PAPA !
Faby,
Le 13 décembre 2007